Les travailleur·euses peuvent être en contact avec d’autres personnes que leurs collègues : les bénéficiaires, des fournisseurs, des prestataires de service, etc. Bien que les contacts sociaux au travail soient souvent positifs et contribuent à un certain épanouissement professionnel, dans certains contextes, les équipes peuvent être confrontées à des situations d’intimidations et/ou de violences (physiques, verbales). Afin de prévenir et de protéger les travailleur·euses d’attitudes et/ou de comportements hostiles et/ou violents de la part de tiers, il s’agit dans un premier temps de répertorier ces derniers via le registre de faits de tiers. Si cet outil est important dans le cadre d’une politique de prévention, il est généralement peu utilisé et demeure méconnu au sein des organisations pour diverses raisons.
Cet atelier a ainsi pour but de mieux comprendre l’utilité et l’importance du registre de faits de tiers. C’est également l’occasion de réfléchir à des moyens pour le faire vivre efficacement au sein d’une organisation, et ce afin qu’il contribue réellement à la mise en place d’une politique de prévention efficace.
Lieu : ABBET, 13-15 Square Sainctelette, 1000 Bruxelles – 9e étage (près de la station métro Yser)
Prix : gratuit
[wpforms id=”11540″]